Harcèlement sexuel BDSM

Catégories : Libertins FANTASME
il y a 12 ans

Une pauvre soumise se rend au siège d'une société pour déposer son CV. Le patron la reçoit de suite, elle est aux anges et croit à la chance. Elle sent tout de suite qu'en face d'elle il y a un coquin mais son regard la trouble tout comme son sourire.

Après avoir lu attentivement son CV et posé les questions d'usage, il décide de tester ses compétences de secrétaire et lui dicte un courrier. A la première faute d'orthographe il plonge la main dans son corsage pour lui pincer le téton. Elle s'offusque mais il la coupe net.

  • C'est comme ça que cela se passe ici, de sa personne on paie ses erreurs, ses retards et autres. C'est ça ou vous repartez.

Contrainte de travailler pour s'offrir le nécessaire de la vie courante comme le rimmel, son rouge à lèvre, far à joue, crayons pour les yeux ... la pauvre secrétaire n'a d'autre choix que de subir l'ignoble patron. Comme elle ne résiste pas aux attouchements pervers, la brute se sent des ailes et la couche sur le bureau. La ficelle du string est un bien faible rempart face au sexe bandé qui cherche à s'immiscer en elle. La pauvre Kioki-san essaye de résister mais il lui rappelé que le contrat de travail n'est pas encore signé.

Une indicible peur la cloue sur le bureau où elle est prise brutalement. Il y a si longtemps qu'elle n'a pas fait l'amour que les mouvements rapides et puissants labourant son intimité commencent à la troubler, ce qui n'échappe pas à la brute. Retournée comme une crêpe sur le bureau, elle se retrouve jambes écartées totalement offerte au patron pour qui le harcèlement sexuel est un droit.

Même si elle trouve cette attitude ignoble, elle cambre son bassin au maximum pour mieux sentir cette délicieuse sensation qui chauffe son intimité. Un sentiment de honte puis d'exaltation la submerge, son regard devient vitreux, son corps fibrille un instant, l'embrasement intégral des sens lui fait perdre toute retenue quand il se met à titiller ses tétons tout en la pilonnant. Ses soupirs se transforment en expirations bruyantes jusqu'au moment où foudroyée par l'extase, les spasmes de son corps s'enchaînent. Elle geint, ses yeux sont clos elle roule la tête en tous sens en savourant le calice de la volupté.

Il l'aide à se relever puis lui indique de s'asseoir et de signer le contrat de travail qu'elle signe sans même le lire étant encore dans les brumes évanescentes d'un orgasme d'une puissance inconnue.

LE LENDEMAIN

Kioki-san se présente au bureau avec 30 minutes de retard rouge de confusion en se confondant en excuses. Elle n'a pas le temps de finir sa phrase qu'elle se retrouve couchée sur le bureau. Sa jupe relevée expose ses fesses sur lesquelles s'abat une grande claque.

  • Ici, une minute de retard égale un coup de canne anglaise, 30 minutes de retard font donc 30 coups, soit vous êtes maso soit vous êtes inconsciente mais nous allons savoir cela tout de suite.

Les premiers coups ne sont pas très cruels mais piquent malgré tout l'épiderme soyeux de son doux fessier. Les suivants plus puissants la font bondir et lorsqu'elle envoie les mains pour se protéger ses poignets sont rapidement cerclés de bracelets. Les mains ainsi menottées, elle ne peut plus résister et subit la plus puissante des fessées de sa vie. Malgré la douleur générée, être ainsi la chose de son patron la trouble surtout quand il passe ensuite la main entre ses cuisses qu'il écarte brusquement pour la posséder comme la veille. La chaleur de ses fesses en feu semble se déplacer dans son intimité, à peine est-il en elle qu'elle se pâme déjà. D'où me vient se plaisir d'être ainsi malmenée se demande Kioki-san en es yeux fermés et la bouche grande ouverte, en savourant dix minutes plus tard avec délice l'instant d'une jouissance totale.

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Ce plaisir d'être bousculée en amour lui était inconnu tout comme cette sensation étrange de chaleur lors des punitions données pour des prétextes parfois futiles.... Kioki-san en arrive à rêver que son patron la bouscule jusque dans son lit. Son petit ami ne sait évidement rien de tout cela parce qu'elle en a un peu honte mais aussi parce qu'elle a peur de perdre son travail si « « « troublant » » » » . Il vient d'avoir une permission et souhaite l'emmener en vacances mais cela sous-entend qu'à peine arrivée dans l'entreprise, elle va devoir demander des congés.

  • Tarif syndical ! Répond aussitôt le patron pervers, si la requête est bien formulée et consommée en son entier, je peux y réfléchir.

Lorsqu'il ouvre la braguette de son pantalon, la pauvre secrétaire se révolte, l'apparition de la verge gorgée de désir la trouble tout comme les yeux braqués dans les siens semblants l'écraser alors qu'il ne la touche même pas. C'est comme si cela ne pouvait souffrît discussion.

  • Vos mièvreries m'ennuient, l'éducation de soumise qui vous fait défaut vous oblige instamment à œuvrer sans quoi vous serez virée pour refus de travail.

EPILOGUE (Au nom du plaisir de notre relation Maître / soumises)

L'idée de jouer le recruteur sadique et pervers nous est venue comme ça par une belle journée de printemps. Accompagnés par soumise Falbala, nous avons joué tous les trois avec Kioki-san ce jeu une après-midi entière en faisant des photos et une vidéo devant une webcam ouverte sur le chat de fessestivites.com

LE GAG est qu'il y a eu un imbécile qui y a cru ! Si si, même si les filles se marraient il y a cru et a téléphoné pour cancaner. Quel c..

TSM

Voir la vidéo interdite aux délégués syndicaux et inspecteurs du travail

Les photos sont ici

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